Donat Marc – Le Mort vivant

Donat Marc - Le Mort vivant -Bibliothèque numérique romande - Jean-Louis Glaussel Danger Laura Barr-Wells Donat Marc – Le Mort vivant (suivi de Ses Cheveux et de La Femme au chien) : Henderson Jeffrys, inventeur et homme d’affaire, est tombé, inerte, dans son laboratoire. Le diagnostic est sans appel : une atrophie musculaire qui le condamne à brève échéance. Mais cet homme si plein de vie ne e pas sa nouvelle condition. Pour lui, mieux vaut la mort ! Alors son fidèle serviteur le ramène au pavillon où il menait ses recherches. Là-bas, Doyn son médecin qui l’a suivi, observe de l’extérieur d’étranges événements. Quelqu’un marche… mais que ses pas sont lourds ! Et cette voix d’outre-tombe qui sème la terreur ? Dès lors, Jeffrys se transforme en un être bizarre, avec une plaie ouverte sur le visage, qui fuit la  compagnie de tous sauf celle de son valet. Doyn le poursuit pour connaitre le fin mot… Tout cela finira mal !

Deux autres nouvelles complètent ce volume : Dans Ses Cheveux, un homme jaloux qui a mutilé sa femme observe avec stupeur des cheveux qui rétrécissent seuls dans un coffret. Puis dans La Femme au chien, la vengeance implacable d’une femme blessée nous ouvre une fenêtre sur l’étrange.

Ces trois nouvelles fantastiques, publiées en 1910, sont empreintes d’atmosphères pesantes ou horrifiques, suggérées par des descriptions subtiles. Grand Guignol ou franche horreur ? Un peu des deux pour le plaisir du lecteur.

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2 réflexions sur “Donat Marc – Le Mort vivant”

  1. Bonjour…

    Pouvez-vous me fournir des renseignements biographiques sur cet auteur dont à part ce recueil on ne trouve aucune trace nulle part ? Le site Litterattureaudio aimerait s’assurer qu’il est bien é dans le domaine public.
    Avec mes remerciements et mes aimables salutations.

    1. Cet auteur n’apparaît en effet dans aucune des grandes bases de données, signe qu’il a très peu écrit et/ou sous pseudonyme. Nous utilisons donc en général des estimations en fonction de la date de publication.
      Dans ce cas précis, outre cette règle, nous avons trouvé une mention dans une publication de Le Rocambole, qui est le bulletin de l’Association des amis du roman populaire, indiquant qu’il s’agirait d’un pseudonyme de Henri Duvernois, qui est lui-même le nom de plume de Henri Simon Schwabacher (1875-1937).

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